Bien entendu le disque d'embrayage a été préalablement centré avec l'outil idéal: un pignon à queue réformé.
Dans le cas présent, en conditions pourtant confortables: moteur sur tabouret, caisse sur table élévatrice, rien à faire, blocage à une distance d'environ 25 mm.
Tourner une roue entraînait bien le moteur, donc je pensais, à tort, que l'arbre était au moins partiellement introduit dans le moyeu du disque
La solution a été de bloquer une roue ( avec un cric rouleur ) puis de tourner l'autre roue, ceci a dû parfaitement centrer l'arbre qui sans cela par simple friction, mais cannelures non alignées, entraînait quand même le moteur.
Conclusion: comme d'habitude la mécanique rappel à l'humilité et c'est très bien comme ça
Nota
Il s'agit du moteur "de développement" qui une fois rodé avec les carbus, subira des bidouillages sauvages lors de la mise au point de l'injection.
Un capteur Hall pour détecter le PMH du cylindre 2 a été installé sur la poulie d'arbre à cames.
http://www.loutrel.org/Injection.php
Chemises et pistons seront très exposés avec l'essence qui certainement ruissellera beaucoup lors de ces essais.
Il n'était pas question de faire subir ces outrages au 1796 qui va si bien..
Bloc de R18T, chemises de R18T soit 1565cc, AàC S11, culasse de 1596, volant moteur en Zicral, embrayage à 4 patins frittés + ressorts, Rapport Volumétrique 10.75.
