Sens de montage des bielles sur un 1596

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Europa
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Sens de montage des bielles sur un 1596

Bonjour,
Je parcours depuis quelques temps votre forum et je suis impressionné par la qualité des dialogues techniques.

Je ne suis pas Alpiniste mais propriétaire d'une Lotus Europe de 1971 (une des dernières à moteur Renault).
3 semaines avant la première réunion des Lotus Europe (le 25/9/2010) une soupape à décider de casser sur le moteur 1596 que j'avais préparé à partir de pièces achetées chez Renault sport à VIRY en 1980. J'avais fait l'erreur de garder les soupapes d'échappement du moteur d'origine.

Je suis en train de remonter ce moteur qui avait très peu roulé.
Sur RTA de la R12 Gordini le positionnement bielle piston est défini par une flèche sur le piston et un numéro sur la bielle.

Hélas sur mon moteur il n’y a ni flèche sur les pistons ni numéro sur les bielles .
J’ai un vieux piston avec flèche qui semble montrer que mes pistons ont été usinés et que lors de l’usinage la pointe de la flèche a disparu. Je vais confirmer ça en mesurant le déport de l’axe du piston. Je pense que ce moteur à tourner avec un mauvais montage des pistons.

Par contre je n’ai aucune possibilité de connaître le sens de montage de la bielle.
questions:
- Comment doit être positionné le trou de graissage de l’axe de piston ou le coup de pointeau sur la tête de bielle.
- de quel coté le piston doit il être déporté.

Merci pour votre aide
Roland BUSSON
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T Falsetti
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Bonsoir Roland,
Merci pour ta presentation et bienvenue sur le FAR. :lol:

Afin que ton post soit plus "visible", je le bascule vers le forum des A110, ou il y a un as du 1596...
Maitre PHL, vous avez la parole ... :wink:
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Thierry Falsetti

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CityHunter
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

tout ce que j'ai actuellement et il me semble que j'avais aussi des bossages sur mon 1565 (bielles identiques au 1596)
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Michel Bourgeois
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Attention City, tu parles du décalage des bielles sur le 1300, dû à l'augmentation de l'alésage. Je ne sais pas si il y a un tel décalage sur le 1600, je ne le crois pas, mais PhL, en effet, saura nous éclairer sur ce point.
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CityHunter
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

et non, relis bien, le sens de montage de la bielle estbien indiqué (pour les 1300). :nono:
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PhL
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Bonjour Europ
j'ai eu une des premières (en 1968), vitres fixes, moteur 85cv, culasse en baignoire (celui de l'A110 1500, un moteur bien loupé) et surtout arbres cannelés des roues AR qui se bouffaient plus vite que leur ombre! A part ces détails, c'est une bonne auto à mon avis.

On connait la devises des constructeurs Anglais: ON NE VA quand même PAS INNOVER sous prétexte d''amélioration" et on sait où ça les a conduit!!! :evil:
Revenons à nos moutons:
désolé mais sur un 1596 les soupapes sont celles du 1565!
Pour le sens des pistons (pas crucial d'ailleurs j'ai roulé longtemps avec un ou deux ds le mauvais sens!) laisse tomber les flèches car sur certains pistons il y en a deux , en sens contraire!
Donc tu te fies aux dégagements pour les soupapes usinés sur la calotte: le plus petit pour l'échappement bien sur.

Concernant ce fameux trou d'huile dans le pied de bielle, j'ai appris après 30 ans de mauvais montage qu'il doit être coté échappement grace à l'excellent MR A310 qui est la seule doc Renault à ma connaissance à en faire état.


Voilà, tu dois bien te marrer avec un 1596 sur cette sympathique auto...

PS Je te conseil de remplacer l'AàC Renault dit "160cv" 53/83°par un Savoye S11, ça tire nettement plus et il est est très souple. Coût: moins de 300€
Cioran "N'a de conviction que celui qui n'a rien approfondi" Convaincu ?
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Europa
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

J'en conviens les soupapes sont celles du 1565 et j'ai trouvé sur internet un commentaire (de 2007)au sujet d'une rupture de soupapes. Le rédacteur expliquait que les soupapes d'origine bi métal cassaient et qu'il fallait monter des soupapes taillées dans la masse.

Cocernant le sens de montage des pistons et des bielles Merci pour ces conseils que je vais mettre en pratique ce week-end.

Pour l'arbre à cames c'est trop tard j'ai donné le mien à recharger car il y avait une came sérieusement abimée.

Concernant les constructeurs anglais qui n'innovent pas je crois que Lotus est le contre-exemple : moteur central sur l'europe , effet de sol en F1, les premières F1 avec moteur turbo appelées aussi yellow tea pot par Frank wILLIAMS à cause d'un moteur qui cassait un peu trop etc....non mais !!!!

j'ajoute des photos des pistons et je vous tiens au courant de l'avancement de mes travaux.

merci
piston 1596 sans flêche.JPG
piston 1596 avec flêche.JPG
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PhL
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Excellent exemple de doubles flèches!
Ca rappel les panneaux routiers pointant à 180° l'un de l'autre: Toutes directions et autres direction!
C'est vrai, je l'ai vu!
Cioran "N'a de conviction que celui qui n'a rien approfondi" Convaincu ?
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Europa a écrit : Concernant les constructeurs anglais qui n'innovent pas je crois que Lotus est le contre-exemple : moteur central sur l'europe , effet de sol en F1, les premières F1 avec moteur turbo appelées aussi yellow tea pot par Frank wILLIAMS à cause d'un moteur qui cassait un peu trop etc....non mais !!!!
Tu es sûr que c'étaient des Lotus :?:
Il me semblait que les Lotus de l'époque étaient noires.
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

La yellow Tea Pot était la...... Renault, rien a voir avec lotus....

A+
Olivier
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Le surnom est de Franck Williams et s'adresse bien aux premières F1 a moteur turbo, mais c'était des Renault, il faut rendre a César, même si je ne suis pas fan de la marque...
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Lotus à moteur renault
il me semble même que mansell avait fini une course en poussant la voiture (évanouie par la vuite il est quand même rentré dans les points)
le début de la F1 écolo
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Seitert Patrick
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

:arrow: PhL a écrit :
Toutes directions et autres directions!
C'est bien vrai et je crois que cela se trouve dans la bonne ville de Buis les Baronnies. Il y aussi toujours à Buis 3 panneaux et je cite dans l'ordre : Maison de retraite - Hopital - Cimetière :mrgreen:
On sait vivre à Buis !
P7R, VKKR de fait, vogue désormais ailleurs, quelque part où dérision, humour, et liberté d'expression fleurissent dans la rosée du matin. Une longue virée en Alpine quand le son des Weber fait oublier les chicailleries et autres mesquineries du quotidien.
Partir n'est point mourir, c'est juste revivre et retrouver modestie car tout a été déjà écrit : "Sans la liberté de blâmer, point d'éloges flatteurs".
PS : pour ceux qui cherchent ma tente elle est ici :
viewtopic.php?f=63&t=35959
On y parle en particulier avec Corto Maltese :
Quand les Vénitiens - parfois ce sont les Maltais - sont fatigués des autorités, ils vont dans ces lieux secrets et, ouvrant les portes au fond de ces cours, ils s'en vont pour toujours vers des pays merveilleux et vers d'autres histoires...”
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Europa
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Olfrjf a écrit :La yellow Tea Pot était la...... Renault, rien a voir avec lotus....

A+
Olivier
J'en conviens le moteur Renault turbo est arrivé bien plus tard sur les lotus. La yellow tea pot était bien une Renault .
Je me suis laissé emporté en lisant un commentaire acerbe sur les marques anglaises en général.
mille excuses.

J'ai effectué la pesée et le montage des bielles et des pistons avec les conseils de ce forum. J'attends l'arbre à cames pour continuer le remontage.
A+
R. BUSSON
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

:arrow: Europa
voici un texte qui est absolument vrai. je sais de quoi je parle, car j'ai une Spitfire :drive:

La voiture anglaise est peut-être une idée, ou bien une réflexion sur le monde, ou encore un point de vue sur l'existence, mais certainement pas un moyen de transport. Acquérir un engin de cette sorte signifie implicitement renoncer une fois pour toutes à la conduite automobile. Car une voiture anglaise n'est pas faite pour rouler. Elle n'a jamais été conçue ni construite pour cela. En revanche - ceux qui en possèdent l'attestent avec l'oeil brillant des flagellants -, elle a été savamment mise au point pour vous compliquer la vie, ruiner graduellement votre confiance, votre épargne, tout en salissant sournoisement votre garage. C'est bien le propre d'une voiture anglaise - quelle que soit son extraction - que de goutter, de suppurer, de perdre toutes sortes de liquides lubrifiants ou refroidissants. A voir ces traces brunâtres et récurrentes sur les sols des abris, on dirait que le moteur ou la boîte ont été pensés, imaginés autour de la fuite, dessinés pour sublimer ce goutte-à-goutte têtu et raffiné dont aucune clé, fût-elle six pans, ne vint jamais à bout. En fait, tout se passe comme si les Anglais avaient fabriqué des voitures humides pour se fondre dans les rideaux de pluie. En réalité, les Britanniques ont inventé la voiture domestique, cette sorte d'animal mécanique qui déteste faire de l'exercice mais n'aime rien tant que de vieillir au plus près des hommes, tout en gardant une certaine valeur. Car, si les anglaises flanchent sur les déplacements, elles ont en revanche le mérite de devenir souvent avec l'âge de bons petits placements. Si on la considère de ce point de vue - celui de l'énurétique animal de compagnie -, la voiture anglaise prend alors du sens. Je parle bien évidemment là des véritables anglaises d'époque, et non point de ces mauvaises répliques d'aujourd'hui assemblées par de bien peu fantaisistes repreneurs américano-germaniques. Je parle de celles dont la première craque, dont la seconde, troisième et quatrième ne passent pas, celles qui ne démarrent jamais le matin et rarement le soir, celles qui sont équipées de carburateurs SU, d'allumeurs Lucas, et de compteurs Smith, et d'overdrive Laycock, autant d'équipements funestes mis au point par des compagnies loufoques, malfaisantes et nuisibles qui ont cependant, un temps, fait la gloire et conforté l'image de l'industrie automobile d'outre-Manche confite dans les plis de ses cuirs. Je parle de toutes ces voitures splendides qui flattaient l'oeil autant que l'odorat.
Lorsque l'on s'asseyait à l'intérieur de ces berlines, de ces coupés ou de ces cabriolets, il s'en dégageait toujours une odeur de sous-bois, un parfum indéfinissable, mélange de pourriture noble, de moquette humide et d'huile de boîte rancie. Bien sûr, chaque marque, chaque modèle avait sa propre fragrance, mais il demeurait une base, une effluence commune. Et c'est là, dans la position du rêveur flairant, que vous perdiez la tête, la narine frémissante, la main flattant le Connoly, l'oeil voletant sur l'érable moucheté et les chromes des poignées. Et vous fermiez les yeux, et vous aviez des grillons dans la tête, et quelque chose vous disait que vous alliez parcourir le monde dans ce canapé à ressorts hélicoïdaux dont le marchand ne cessait de vous vanter la souplesse. Et vous faisiez alors un chèque, un chèque sans fin, pour acquérir à la fois une nationalité qui vous était étrangère et un sentiment d'îliens qui n'avait qu'un lointain rapport avec la mer. Et vous pensiez acheter une Jaguar, une MG, une Triumph, une Sunbeam, une Alvis, ou une Healey, bref un petit peu plus qu'une automobile, alors que vous veniez de devenir propriétaire d'une tonne d'emmerdements équitablement répartis sur chaque essieu. Mon garagiste spécialisé me parle souvent des Jaguar XJ 6. Il les parque toutes dans le même coin de son atelier, sorte de pavillon des contagieux, et les appelle ses boîtes à chagrin : « Quand on voit comment c'est fabriqué, on se demande comment ça peut rouler ». Mon garagiste est un homme pragmatique. Quand il évoque la XJS 12, il dit : « La six, c'était un six-cylindres. La 12, je vous laisse faire le compte, c'est les mêmes soucis multipliés par deux ». Et pourtant, si l'on considère ces voitures pour ce qu'elles sont, des véhicules de garage, des pur-sangs immobiles, des petits salons d'ambassade, des fragments de Commonwealth, des exercices d'ameublement, des coques d'élégance, des noyaux de bon goût, alors, tout va bien. C'est lorsque vous mettez le contact et que vous ambitionnez de vous rendre d'un point à un autre que l'exercice se gâte et que la machine se grippe. Je sais de quoi je parle. J'ai pratiqué ce sport qu'est la panne anglaise durant une quinzaine d'années. J'ai été successivement trahi par deux Austin 1300, abandonné par une TR4 IRS, plaqué par une Sunbeam, ridiculisé par une Triumph Vitesse 6, humilié par une MGB qui alla jusqu'à s'enflammer, spontanément, moteur coupé, à l'arrêt, dans le garage. Toutes ces voitures ont passé plus de temps chez le réparateur qu'avec moi sur les routes. Toutes étaient séduisantes au point qu'après chaque panne j'avais la conviction que nous repartions, elles et moi, sur de nouvelles bases. Toutes avaient cette odeur caractéristique qui inspirait confiance. Toutes étaient splendides sous la pluie. Toutes rouillaient inexorablement. Toutes avaient quelque chose d'humain. Toutes m'ont lâché du jour au lendemain.
Ce n'est que vers la fin que j'ai compris l'usage qu'il fallait faire de ces fauteuils de jardin. Le soir, je sortais le cabriolet sur la pelouse, j'abaissais la capote, j'allumais une cigarette et la radio, puis, voyageur immobile, je fumais en regardant passer l'été dans le ciel. Aujourd'hui, j'ai fait l'acquisition d'un petit roadster japonais. Il est parfaitement étanche. Le matin, je démarre, été comme hiver. Le mélange air-essence est géré par un processeur. Le chauffage chauffe, le ventilateur souffle, les vitesses passent en douceur, la consommation est raisonnable, la tenue de route irréprochable. Je ne fréquente plus aucun mécanicien. J'ai annulé mon assurance dépannage. Bref je roule en automobile. Autrement dit, je m'emmerde.
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AAS13
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

city je te rejoint a 100000% ayant pratiqué la spit plus de 10 ans, et de plus étant du métier (concernant les anglaises je peut parler de sacerdoce avec le cerveau connecté a l'envers et la main gauche a la place de la droite) ces autos devraient être livrées avec une caisse a outils conséquente, et je peut en parler au présent car, comme je dois être masochiste, j'ai replonger avec une lotus, récente certes mais, non exsangue de "petits" problèmes.....dont la liste est tellement longue que l'on n'en vois jamais la fin et qui fait plus de km sur plateau que sur ses 4 roues :evil:
d'où le grand plaisir de rouler en ALPINE qui te mène au bout du monde sans faiblir....ou presque :)
Vieillir physiquement est une fatalité, intelectuellement c'est un choix!
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Seitert Patrick
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

AAS13 a écrit :
"d'où le grand plaisir de rouler en ALPINE qui te mène au bout du monde sans faiblir....ou presque"
Et je crois bien pouvoir affirmer aprés 167000kms avec Jaune Vanille qu'effectivement que pour rouler en ancienne, une Alpine est une des plus fiables. :oops:
P7R, VKKR de fait, vogue désormais ailleurs, quelque part où dérision, humour, et liberté d'expression fleurissent dans la rosée du matin. Une longue virée en Alpine quand le son des Weber fait oublier les chicailleries et autres mesquineries du quotidien.
Partir n'est point mourir, c'est juste revivre et retrouver modestie car tout a été déjà écrit : "Sans la liberté de blâmer, point d'éloges flatteurs".
PS : pour ceux qui cherchent ma tente elle est ici :
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On y parle en particulier avec Corto Maltese :
Quand les Vénitiens - parfois ce sont les Maltais - sont fatigués des autorités, ils vont dans ces lieux secrets et, ouvrant les portes au fond de ces cours, ils s'en vont pour toujours vers des pays merveilleux et vers d'autres histoires...”
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Coucou les gars...
J'en reviens au sens de montage des pistons.

De deux choses l'une, ou nous sommes aujourd'hui le 1° avril et je n'ai rien capté, ou vous êtes en train de vous vanner entre vous et je débarque "la gu... enfarinée",

ce qui est interprété comme des doubles flèches inversées n'est pas du tout la réalité : il y a bien une flèche directionnelle et ce qu'il y a à côté, c'est un "V" pour volant-moteur.
Traduction : côté du piston à positionner vers le volant-moteur.

Allez, avouez ! C'était une vanne...?
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Pour le sens du piston : Comme disait Raymond Devos à propos du béret "cela n'a pas de sens"
P7R, VKKR de fait, vogue désormais ailleurs, quelque part où dérision, humour, et liberté d'expression fleurissent dans la rosée du matin. Une longue virée en Alpine quand le son des Weber fait oublier les chicailleries et autres mesquineries du quotidien.
Partir n'est point mourir, c'est juste revivre et retrouver modestie car tout a été déjà écrit : "Sans la liberté de blâmer, point d'éloges flatteurs".
PS : pour ceux qui cherchent ma tente elle est ici :
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Re: Sens de montage des bielles sur un 1596

Emgé
Euh, non, on était sérieux, honte à nous donc :oops: :oops:
Grace à toi je découvre que c'est le V de volant, effectivement et là tout s'éclaire!
Honnêtement je trouve que ce double repérage crée plus de confusion que de clarté...
Je vois mal son intérêt.
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