Zouzouille a écrit : ↑19-janv.-2023 21:04
MBriand a écrit : ↑19-janv.-2023 20:24
Non bien entendu, le terme "solution boiteuse" est seulement un jeu de mot de Jacques Cheinisse...pas la conclusion par rapport ce choix qui était provisoire et qui a payé! Il faut lire la suite
Mets nous la suite.......merci......
A défaut de scanner les pages du livre qui racontent cette période 1972, voici un petit résumé :
Après de nombreuses casses de boites, est venue cette idée après le Monte-Carlo 72 (ou toutes les boites avaient cassé… !) de supprimer le rapport de 5ème (qui était le premier à céder), afin de gagner de la place pour monter une pignonnerie 4 vitesses plus robuste. (pignons plus larges ??)
Mais l’homologation en Gr4 comportait la BV5, il fallait donc pouvoir montrer une boite qui corresponde à cette homologation, avec un 5ème rapport factice (pignon réduit en largeur).
Ca a fonctionné sur quelques rallyes, en particulier le Lyon Charbonnière, où les vérifications technique après la victoire de JC Andruet, ont donné quelques sueurs froides…et d’autres victoires, Ronde Cévenole, Olympia rallye en Allemagne…
Mais cette solution était un handicap face aux concurrents disposant de plus de puissance, et elle était risquée au niveau des vérifications techniques…sauf à s’engager en Gr5 avec une vraie BV4, ce qui a été fait sur certaines épreuves.
En fin de saison les métallurgistes de la RNUR, aidés des chimistes d’Elf, ont trouvé une solution pour fiabiliser les pignons et revenir à la BV5. Solution utilisée sur plusieurs autos à partir des Cévennes, y compris en Gr5…
La suite c’est 1973 avec le Monte-Carlo pour débuter !
Reste une ambigüité sur la boite équipant le proto Gr5 Turbo des Cévennes. Dans le livre il est mentionné qu’elle avait aussi la nouvelle pignonnerie 5 vitesses…
(bière trinquée au bistrot devant la mairie d'Alès en 20 ??) ! la prochaine, c'est quand tu veux ...
