Niveau de fun à vitesses légales (~+10km/h)

[Kaelis]

Hello tout le monde,

Je me permets de créer un topic pour rassembler un peu vos impressions concernant le plaisir de conduite/fun que vous arrivez à avoir sur route ouverte en respectant globalement les limitations de vitesse.

Je trouve que c’est un sujet intéressant à aborder vu la surveillance routière ainsi que la densité de circulation parfois élevées selon les régions/départements des uns et des autres.

Au vu du poids léger et du roulis voulu dans le réglage du châssis j’imagine qu’on s’amuse pas trop mal, mais à quel point ? Ressentez-vous le besoin de vraiment outrepasser les limitations de vitesse pour avoir un minimum de sensations ou peut-on s’amuser en sécurité sans craindre plus que cela pour son permis ?

[Tty13]

Qu'est-ce que tu veux qu'on reponde ?
Tout dépend du type de route !
Si c'est une 2x2 voies toute droite, à part tout enquiller à fond de 7 !!!
Après je connais des routes où il est impossible d'approcher la limitation tellement ça tourne et à 70 km/h, tu as la banane !
Enfin, à 140 sur l'autoroute, c'est silencieux, confortable et on consomme rien donc c'est plutôt plaisant ... jusqu'à ce que passe un lièvre et la tu enquilles derrière !°

[Kaelis]

Top donc quand ça virevolte même à vitesse légale on s’amuse c’est que je voulais savoir. J’avais eu pas mal de circulation pendant l’essai (Boulogne forcément) donc dur de juger.

Rien de pire que d’avoir de la cavalerie sous le pied mais une auto trop lourde/rigide qui empêche d’avoir des sensations de vitesse à vitesses normales. C’est le problème que j’avais eu en testant Mustant Bullitt 2019, F-Type P300, Audi RS5 (la pire à ce niveau-là) etc.

[Seitert Patrick]

Je crois que Tty13 a répondu de manière logique et j'approuve forcément.

[Fye]

Qu'est-ce que tu veux qu'on reponde ?
Tout dépend du type de route !
Après je connais des routes où il est impossible d'approcher la limitation tellement ça tourne et à 70 km/h, tu as la banane !
Enfin, à 140 sur l'autoroute, c'est silencieux, confortable et on consomme rien donc c'est plutôt plaisant ... jusqu'à ce que passe un lièvre et la tu enquilles derrière !°

En plus tu as des départements qui sont revenus au 90 comme les Hautes Alpes , le Cantal , la Corrèze
J'y suis passé en road trip RGA ( en Lotus Elise ) pour le premier , en road trip Tour Auto ( en 205 Rallye ) pour les 2 autres
Et là tu peux prendre l' habit du lièvre
Et dans les départements où il y a une culture automobile sportive les tortues laissent souvent passer le lièvre
En Corrèze la tortue c'est Bernadette Ch.d..n de C ...dixit chi x2
Et là j'attends la Pure blanc glacier 17 pouces pour un futur road trip rodage....à voir Lot / Aveyron ou Pyrénées Atlantiques Pays Basque

[Seitert Patrick]

Et avec du 90, même du 80 dans les cols alpins il y a matière à rigoler, voire à se faire peur. Il me semble que dans feu la Coupe des Alpes (sur trajet non stop Aix en Provence-Evian-Aix en P. par les cols alpins), des vainqueurs comme Vinatier sur A110 1440 ou Larousse sur Porsche 911S, tournaient autour de 60 de moyenne.

[Paul Le Corre]

Je prends du plaisir à rouler en tout l’égalité avec notre modèle mais je dois avouer que je suis bien au dessus des limitations dès que j’appuie un peu.

C’est donc sur le réseau secondaire et avec le Waze en permanence que je vais faire mes petits tours.

[Freddox]

Après une journée de boulot stressante j’aime prendre mon Alpine pour aller faire un petit tour. Elle me permet de décompresser. Je n’ai jamais connu ça avec une autre voiture. Alors, soit j’arsouille un peu et j’ai la banane ou soit je roule cool avec mon focal premium (oui monsieur ) puissance 27 en écoutant un bon morceau. Mais dans les 2 cas c’est le pied et je vis à 800 km des Alpes

[Mike-7.0]

Comme dit Tty13, pas facile de répondre ! Bien évidemment qu'il est possible de respecter les limitations, comme il est encore plus possible de ne pas les respecter
Cette caisse a des accélérations fulgurantes, tient le parquet comme pas possible, alors même en montagne on est souvent à des vitesses prohibées.
Je dirais qu'il y a des caisses plus "adaptées" pour cela : MX5, GT86.....par exemple. Une GT86, avec ses pneus en bois et son moteur atmosphérique un peu poussif (mais néanmoins vivant) passe avec 20 bornes de moins, tout en donnant aussi beaucoup de plaisir

[Kaelis]

Ah ça la MX-5 là c’est l’inverse et je parle en connaissance de cause J’ai toujours l’impression d’être à fond les ballons et quand je regarde le compteur je suis 10/15km/h sous la limite. C’est du coup très fun mais pas très efficace.

En passant sur l’Alpine j’espère garder une partie de ce plaisir à vitesse sensée tout en disposant de vraies performances et d’une insonorisation correcte pour les portions d’autoroute.

[Kaelis]

Après une journée de boulot stressante j’aime prendre mon Alpine pour aller faire un petit tour. Elle me permet de décompresser. Je n’ai jamais connu ça avec une autre voiture. Alors, soit j’arsouille un peu et j’ai la banane ou soit je roule cool avec mon focal premium (oui monsieur ) puissance 27 en écoutant un bon morceau. Mais dans les 2 cas c’est le pied et je vis à 800 km des Alpes

Content de lire cela

C’est exactement ce que je fais avec la MX-5, au moins une sortie par semaine pour décompresser en roulant sans but précis.

[Alec6]

Cette voiture est géniale, elle sait (presque) tout faire. Cruiser pépère dans un confort royal comme arsouiller grave en mode track qui permet, au passage, quelques glissades facilement contrôlables ! Et tout ça sans rouler à des vitesses prohibées. L’A110 n’est pas avare en sensations, même en respectant les vitesses légales (ou juste un peu au dessus), contrairement à beaucoup de sportives modernes.

[ChronoGPS]

Je vais sûrement me faire taper dessus mais je pense pouvoir parler avec un recul de bientôt 2 ans et 21 ou 22 000 kms (avec de gros roadtrips Espagne, Portugal, les plus haut cols des Alpes France/Italie/Suisse/Autriche/Solvénie/etc...) et une sortie circuit (auto très très fun, beaucoup plus facile à la limite que je ne le pensais).

Cette caisse est fun entre +30 et +50 (et certainement pas aux allures légales, c'est un élément de langage que le marketing Alpine a très bien su faire passer aux journalistes), et ce, d'autant plus avec la généralisation du 80 km/h. Alors évidemment on va me dire qu'il y a des routes où on ne peut pas rouler raisonnablement, même à la vitesse légale. On en connait tous. Moi aussi, j'ai un peu de bouteille. Mais ne venez pas me dire qu'on ne peut pas faire des pointes à 130 en montant la Bonette, en parcourant la route des crêtes dans le ballon d'Alsace (où il y a un max de parties limitées à 70) ou en grimpant au Puy Mary. Le premier qui me dit s'éclater sans dépasser le 90 sur les routes du Morvan ou sur le plateau de Millevache je vais avoir beaucoup de mal à le croire. Du fait de son architecture c'est une auto qui nécessite de charger l'avant au freinage (sinon ça manque singulièrement de train avant). Je me suis éclaté en Espagne et au Portugal où les grosses sanctions tombent à partir de +40 (et ou un étranger ne risque qu'une cartouche de quelques centaines d'euros, au pire une interdiction de circuler quelques mois). Je me suis fait globalement ch... dans les Alpes car j'ai conduit avec les yeux sur le compteur car le +30 est immédiatement atteint et en France, Suisse, Autriche... ça rigole moyen niveau vitesse (suis même revenu avec un cliché souvenir).

Pour l'initiateur du sujet qui partage l'expérience de la MX5 je te prédis une certaine frustration : Cette A110 va venir combler le manque de puissance légitimement reproché à la Mazda. Le revers de la médaille c'est que tu vas te retrouver avec une catapulte qui en 4 secondes te propulsera à 30 ou 40 km/h de plus que ton ex dans les mêmes circonstances. Après ces courtes 4 secondes il te faudra alors jouer avec ton permis ... ou couper. Et là tu te souviendras de la célèbre phrase : il est plus fun de conduire rapidement une voiture lente qu'une voiture rapide lentement.

[Pat_Abyss]

Pour ma part, je dirai même qu'on découvre deux autos : une avant rodage et une autre après.

Pendant le rodage, le fait de se limiter à 3 500 tr/mn max ne restreint pas vraiment le plaisir, il y a au contraire vraiment de quoi apprécier et s'habituer.

Quand on va au-delà, la sonorité change et la poussée est encore plus jouissive... mais les vitesses sont plus élevées aussi.

J'appuierai donc les propos ci-dessus : oui, on prend son pied en respectant les vitesses, en particulier sur route sinueuse où justement, la vitesse est limitée de fait.

[DoCh]

Pour répondre à tous à la fois, voici un texte où le véhicule à 2 roues peut être remplacé par un autre, à 4 roues, dont le nom pourrait commencer par A.
Les émotions sont les mêmes, voyez...

"Parce que la plume me démangeait, parce que je déguste encore les bons effets de ma balade corsoise, parce que j'avais besoin de mettre noir sur blanc mes récentes émotions motocyclistiques, je vous propose ce texte futile.
Je vous demande de le lire comme s'il était au second degré, et surtout, de ne pas le considérer comme une leçon de conduite.
Entrez dans le délire avec moi, dans ce petit voyage dans l'excès, au cours duquel vous n'aurez pas le temps d'admirer le beau paysage qui nous entoure.
Mais on ne peut pas tout avoir...

Faut-il soigner les crises d’accélération?

Attablé à la terrasse d’une brasserie sur le port d’Ajaccio, avec mes compagnons motards, en attendant l’heure de l’embarquement, je revis en pensée les trois jours que nous venons de consacrer à parcourir les routes de Corse. Des émotions subsistent, qui sont bien sûr visuelles, mais aussi olfactives (l’odeur du maquis), sensibles (la fraîcheur au goût d’ozone au passage près des torrents), physiques dans la maîtrise de la moto lors des runs à vitesse soutenue...

Parlons-en justement de ces petits sprints exaltants, sur ces routes désertes qui savent nous séduire dans leurs portions les plus belles, lorsqu’elles se glissent dans un revêtement de fête comme dans une robe de gala, en arrondissant leurs courbes sensuelles...

Nous savons que généralement en Corse, la plupart des petites routes sont parcourues à des vitesses très modestes, à cause des facteurs locaux défavorables comme les nombreux virages à court rayon, qui quelquefois se ferment sans prévenir, à cause aussi des animaux errants — ou carrément couchés sur la chaussée — des plaques de terre amenées par les dernières pluies, ou des pierres récemment tombées...
Tout ceci fait que l’aiguille du compteur peut rester longtemps entre 30 et 60 à l’heure, — entre les chiffres 7 et 10 d’un cadran qui serait horaire — sans que nous en éprouvions de frustration, car il est normal de régler sa vitesse en fonction des conditions du moment.

Si l’on veut profiter des reprises si exaltantes de la Seven Fifty* — qui, bien sûr, “tourne comme une horloge“ — on peut alors augmenter le rythme. On parviendra à se faire plaisir, tout en restant prudent dans les virages masqués, en alternant l’usage de la poignée d’accélérateur et des commandes de frein, et en les brutalisant quelque peu. Dans les courtes lignes droites, grâce à la puissance du moteur, on atteindra des allures qui paraîtront élevées, mais qui dépassent rarement le 80... En réalité, on aura l’impression d’aller bien plus vite, car ces routes étroites augmentent l’impression de vitesse.

Mais il est fort possible que, parfois, cette option timide et trop raisonnable ne nous suffise pas.
Plongeons-nous un instant dans l'examen de ce qu’a été notre état d’esprit lors de nos activités en général, ou lors de nos nombreuses séquences automobiles ou motocyclistes : nous avons tous connu des moments où rien n’allait de soi, et où par suite, la conduite d’un engin à moteur ne se passait pas aussi harmonieusement qu’à l’accoutumée : mauvaise synchronisation dans les gestes, des petites maladresses dues à la distraction, et en finale, peu de satisfaction.
Par opposition à ce cas de figure, la vie nous réserve à l’occasion, sans que l’on sache pourquoi, des moments de gloire qui permettent l’exploitation maximale de nos capacités, et font que la conduite — ou d’autres de nos activités — se passent dans une facilité dérisoire, comme si tous les composants de notre individualité s’étaient accordés pour nous autoriser à atteindre la perfection. Quel que soit le travail ou le jeu du moment...

Pour moi, ce sont ces instants résultant de divers facteurs, plus ou moins évidents, plus ou moins formulés, aidés par le bon état de ma conscience (et/ou, en l’occurrence, celui de la route), qui finissent par ouvrir la porte au démon : je sens qu’il m’envahit petit à petit, et s’insinue finalement jusque dans mon poignet droit, qui aura soudain une curieuse tendance à se mettre en hyper-extension. Ne voilà-t-il pas que cela se traduit par une accélération involontaire : la moto rugit et se cabre pour un temps, avant que je ne parvienne à la faire plonger de l’avant dans un freinage sauveur, car le virage est arrivé si vite... Ce saut dans l’espace, qui a provoqué une émotion agréable dans une grosse giclée d’adrénaline, est une invitation à recommencer... Aussi, me dis-je, “dès que j’aurai passé le prochain point de corde, je monterai plus haut dans les régimes, et je sais que je peux encore raccourcir ma zone de freinage en mettant toute ma force dans le levier de droite, en m’aidant aussi du frein arrière, même si je dois la terminer roue arrière bloquée et moto en travers, comme un débutant...“.

Oui! C’est ça!... D’abord, je fais tout pour que ça accélère vraiment fort, et je sais pouvoir compter sur les freins, qui sont au top, comme mes nerfs. Exactement comme un demi-siècle en arrière, en rallye au volant de ma berlinette Alpine : la réalité d’aujourd’hui s’estompe dans un bonheur balistique retrouvé, celui de la ruée vers l’avant, de la trajectoire efficace, de l’accélération précoce et du freinage tardif. Celui en somme, de la course de l’espace contre le temps...
Une course qui ne fait jamais de vainqueur, dont on ne connaît jamais le perdant. Une course éternellement attirante, que les hommes ignorants, mais avides de record ou de plaisir, désignent sous le terme de vitesse, exprimée en kilomètres/heures, cette curieuse mitonnade d’unités qui ne parlent pas la même langue. Aujourd'hui, au guidon de mon destrier, la vitesse n’est que relative, et au lieu d’un chiffre, ce n’est qu’une sensation, dont la qualité augmente en fonction des difficultés de la route.

Dans la ligne droite qui suit, je n’ai plus personne dans mes rétros. Qu’importe, j’ai choisi le mode “seul au monde“ pour un temps.

La route est encore très belle, et les courbes qui s’enchaînent usent de tout leur charme pour me séduire. La moto lève le nez dans sa course démente, qui accélère encore et encore, et à la fin du bout droit, l’aiguille blanche du tachymètre indique midi passé... Puis la fourche s’écrase brusquement au freinage, encore et encore. Mon esprit est en alerte rouge, mon corps est hyper-efficient, mes gestes se coordonnent et se succèdent harmonieusement dans une perfection réconfortante. Les rapports de vitesse alternent comme dans du beurre, les violentes accélérations au son charmeur m'arrachent aux virages et précèdent les ralentissements d’enfer, faits de l’association de la descente des rapports en cascade et de l’extrême sollicitation des freins, qui bloquent les coudes et poussent le bassin vers le réservoir. Ensuite, au mitan du virage, c’est la prise d’angle, toujours émotionnante, qui ouvre en grand la pompe de reprise des surrénales.
La moto et moi ne faisons qu’un, qui continue, tout seul, dans le souffle rauque du moteur, dans le vent de la course, dans un futile avatar d’une extase inavouée.

La tension ne baissera qu’après de longs kilomètres, réduits à presque rien par le petit bonheur du moment qui a modifié le temps comme la distance. C’est vrai que l’exercice m’a plongé dans un plaisir indicible, dont le goût sucré perdure.

Je me relève et ralentis, en me préparant à entendre bientôt mes comparses me rejoignant, grommeler sous leur visière des commentaires affectueux à propos de “certains petits vieux qui se prennent pour Agostini“... et “qui ne feraient pas ça si leur femme le savait“... Des mots qui font sourire et renforcent l’amitié entre gens de bonne compagnie.
Des gens comme ceux qui, dans le respect ancestral qu’on réserve aux génies et aux fous, ont fait semblant de ne pas pouvoir me suivre...

L’est pas belle la vie qu'il me reste ?"

Mai 2015.
Reproduction interdite, bien sûr.
Extrait de mon blog : leblogadoch2.blogspot.com
D.

*Merveilleuse 750 Honda à 4 cylindres.
Les motards remplaceront par la marque de leur moto...
Je sais ce que feront les Farnautes.

[Pat_Abyss]

Joli texte Belle retranscription

[Kaelis]

Très beau texte merci pour le partage

En effet j’avais oublié la partie rodage, ça me permettra d’y aller mollo pour mieux profiter du moteur par la suite, un mal pour un bien !

Et merci à @ChronoGPS car on vient de la même monture donc très intéressant de lire ton ressenti. Je me doutais bien que l’A110 serait difficilement aussi drôle â mener que la MX-5 à vitesse légale en effet. Le côté cabriolet étant loin d’être étranger à la sensation de vitesse supérieure j’imagine.

Si je comprends bien elle reste un bon compromis entre plaisir de conduite et efficacité sportive, ce qui la rend polyvalente tout comme ses deux côtés confort&silence en mode Normal et relances explosives/sonorité rageuse en modes Sport&Track. Et dans son domaine sur routes sinueuses où la nature même du parcours empêche d’atteindre des vitesses indicibles. Une bonne occasion d’arpenter le Véxin donc.

Dur dur de choisir parfois tant certaines sportives sont attachantes. Je me rappelle également mon essai de l’Elise Cup 250, quel pied ce toucher de route, ce grip, la direction communicative au possible. Dommage qu’elle soit quasiment impossible à assumer en voiture unique. Pas envie d’un divorce aussi jeune

Dans un monde idéal je pourrais simplement ajouter une Alpine à l’écurie et garder la petite MX-5 qui file quand même facilement la banane mais pas les moyens ni l’espace actuellement !

Et j’envie ceux qui habitent pas loin des virolos de montagne, heureusement j’ai les petites routes du Véxin pas trop loin au moins.

[Seitert Patrick]

Toujours un grand plaisir de lire du pur Doch, amoureux des motos et des autos qui donnent du plaisir à ceux qui les prennent comme compagnons de route.

[Mike-7.0]

Complètement d'accord avec ChronoGps (facile on eu les mêmes autos ! )L' Alpine est un cran largement au dessus de la catégorie illustré par MX5, BRZ,......et en conséquence les vitesses de passage sont largement au dessus.

Néanmoins, la petite taille, l'agilité, le châssis vivant fait que sur petites routes très sinueuses, on peut s'amuser, sans être trop "délinquant".....

C'est ce que je reproche d'une certaine matière au Porsche. Des super caisses, mais faites pour de belles routes larges, à des vitesses, qui pour commencer à se faire plaisir, te font passer tout droit par la case asile psychiatrique

[Kaelis]

Oui c’est le problème de pas mal de sportives modernes, ce côté aseptisé à vitesses normales. D’où ma préférence marquée pour les sportives légères : MX-5, Lotus, A110 forcément. J’en oublie sûrement mais ce n’est pas un créneau surchargé en modèles différents en tout cas.

Je me rappelle encore de l’essai de l’Audi RS5 que nous avions durant plusieurs jours avec mon père (nous tenons un site actu auto/moto) et quelle frustration de ne rien sentir de la puissance disponible sans faire du +30km/h au dessus de la limite sur les routes de campagne.

Je n’ai jamais eu l’occasion de tester les modèles Porsche jusqu’à maintenant, je serai curieux de voir ce que donne un 981S ou 718S en termes de sensations.