C’est certain que vu de l’extérieur (client) ces changements incessant à la tête d’Alpine font brouillon et ne donne pas une visibilité sur la pérennité de la marque et du produit. Le virage vers le tout électrique avait déjà de quoi déplaire
Je ne parle même pas de l’épisode éclair de Cyril Abiteboul ni de l’homme invisible transfuge d’AMG Patrick Marinoff qui devait ancrer Alpine dans le cercle des constructeurs de sportives ...
L’avenir est bien incertain et c’est bien dommage de ne pas capitaliser sur l’A110NG qui est une auto réussie (avec des qualités et des défauts) mais atypique et n’ayant pas renié ses racines. Le monde de demain et celui d’Alpine risque d’être bien insipide ...